Le temps est pluvieux, le carburant est toujours introuvable, une occupation dans la cuisine était donc toute indiquée.
Il est maintenant sur la table prêt à être mangé.
Les puristes remarqueront que la crème est à la limite de tourner en beurre. Il y avait un compromis à faire entre la cuisson parfaite du poulet et la consistance de la crème.
Le poulet est mangé, et il était parfait. Je n'ai même pas eu envie de dessert après.
Un fromage blanc à la créme eut été une savoureuse conclusion .
RépondreSupprimerFromage blanc à la créme et au coulis de framboise ! Un délice ....
RépondreSupprimer...ou Cochonne de lait ...
RépondreSupprimerJ'ai deux sortes de lecteurs parmi les personnes qui viennent lire mes recettes. Ceux qui aiment vraiment la cuisine et vont se faire un plaisir de cuisiner ce poulet vallée d'Auge - je précise d'ailleurs pour ceux-ci que la sauce va bien aussi pour les tendrons de veau - et les deux trublions qui passent leur temps à déranger la belle quiétude de ma Normandie par des sous-entendus gaulois qui n'ont pas grand chose à voir avec la cuisine normande.
RépondreSupprimerVoilà une parie de la réponse à ta question de 20h05, cher cousin. Quant à l'amateur de patates, il ne perd rien pour attendre.
On est TROIS !
RépondreSupprimerTu oublies BOOMER !!!!
Non, c'est bien deux. Boomer Léo ne lit pas ici. D'ailleurs, pour tout dire, ce qu'il aime manger se résume à steak-pâtes-ketchup.
RépondreSupprimerCe n'est que pour moi que je cuisine ce merveilleux poulet.
Tu sais bien que je suis une gourmande...
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